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Lunéville : les ateliers de Gérard Larguier

par Jacques Mucchielli
L'atelier sur la Guerre de 14-18. ©Mucchielli/Naja
L'atelier sur la Guerre de 14-18. ©Mucchielli/Naja
L'installation de brachanges dans l'atelier sur la Guerre de 14-18. ©Mucchielli/Naja
L'installation de brachanges dans l'atelier sur la Guerre de 14-18. ©Mucchielli/Naja
Détail d'une toile sur 14-18. ©Mucchielli/Naja
Détail d'une toile sur 14-18. ©Mucchielli/Naja
L'atelier des portraits. ©Mucchielli/Naja
L'atelier des portraits. ©Mucchielli/Naja
L'inscription nazie (Aux soldats allemands, rien n'est impossible) dans l'atelier sur les portraits. ©Mucchielli/Naja
L'inscription nazie (Aux soldats allemands, rien n'est impossible) dans l'atelier sur les portraits. ©Mucchielli/Naja
Deux collages de Gérard Larguier.©Mucchielli/Naja
Deux collages de Gérard Larguier.©Mucchielli/Naja
Un collage érotique. ©Mucchielli/Naja
Un collage érotique. ©Mucchielli/Naja
Une installation d'atelier signée Gérard Larguier ©Mucchielli/Naja
Une installation d'atelier signée Gérard Larguier ©Mucchielli/Naja
Arts visuels Arts plastiques Publié le 31/07/2016
Gérard Larguier, peintre parisien jadis président du Bâteau Lavoir, entretient une relation suivie avec le château de Lunéville qui organise une rétrospective de son travail. Son exposition dans l’aile du château conservée identique à l’époque de l’occupation allemande est faite de collages et d’installations qui incarnent les lieux.

Le château de Lunéville accueille une rétrospective sur cinquante ans de l’œuvre du plasticien Gérard Larguier. Demeure de Stanislas Leszcynski, ancien roi de Pologne et gendre de Louis XV, le château est construit sur le modèle versaillais. Mais trop imposant, trop coûteux d’entretien, il fut tour à tour garnison pour l’armée française, puis pour les troupes nazies. Une aile de cette époque a été conservée telle quelle, avec des inscriptions laissées par les soldats allemands. C’est cette aile, qui n’a pas été touchée par l’incendie de janvier 2003, que le château a proposé au peintre pour concevoir des installations à même de valoriser son œuvre.

Chaque salle aborde un thème différent, la guerre de 14-18, les portraits dans la salle qui conserve les inscriptions nazies, les œuvres érotiques, les collages divers…

Jadis président du prestigieux Bâteau Lavoir de Montmartre où il a toujours son atelier, le peintre expose également une rétrospective de 50 ans de travail jusqu’au 18 septembre.

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