Il y a trois ans, le 11 mars 2014, le monde entier médusé apprenait que le Nord-est du Japon venait de vivre un tremblement de terre de Magnitude 9, suivi d'un tsunami géant qui allait entrainer le plus un dramatique accident nucléaire depuis Tchernobyl. Secrets, rétentions d'informations, cupidités criminelles marquent ce triste épisode dont les victimes sont aujourd'hui oubliées par les médias internationaux. Des associations se battent cependant pour les populations qui ont tout perdu. Un film, écrit par une jeune fille de 17 ans décrit à la fois le combat et la résilience des sinistrés japonais. Il sera projeté samedi 11 mars et mis à la disposition de tous ceux qui ne veulent pas que le chape de plomb soit posé sur la douleur des victimes.
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