Au Palais de Chaillot à Paris, le 10 décembre 1948, l'assemblée générale des Nations Unies, qui n'avait pas encore son siège new-yorkais, adoptait la Déclaration universelle des droits de l’homme. Trois ans après la guerre la plus destructrice qu’ait connue l’humanité, et avec l'abstention de 8 des 58 Etats représentés : l’Afrique du Sud en plein Apartheid, l’Arabie Saoudite résolument opposée à l’égalité homme-femme et plusieurs pays socialistes dont l’URSS. Le 12 décembre dernier, l’UNESCO, qui entend se saisir de cet anniversaire pour porter encore plus loin les droits universels, a lancé l’année de célébration, avec sa directrice générale, la Française Audrey Azoulay, la fondatrice de l'ONG Afghanistan Libre, défendant l’accès à l’éducation des filles et des femmes, Chékéba Hachemi, et le caricaturiste Plantu.
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