Jamais élection présidentielle en France n'aura porté autant de charges négatives. Non seulement la description du pays faite par les candidats est globalement négative, mais de plus, des mots-concepts rayés du langage politique après la guerre et l'occupation, refont surface. Avant le 23 avril, premier tour d’une élection présidentielle au résultat incertain, analyse par les mots, et avec les philosophes et les sociologues, d'une campagne électorale dominée par l'antisystème, le populisme, le nationalisme…
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